Les faits sont aujourd’hui graves puisqu’il s’agit, paraît-il, d’une «communauté terroriste» vivant sur les hauteurs et bénéficiant de la protection de quelques habitants, selon une source sécuritaire, d’où la capacité de quelques éléments à se déplacer des hauteurs vers des lieux d’habitation. En dépit des mesures militaires et sécuritaires prises par les unités de lutte antiterroriste, la zone militaire fermée …